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Par big-bear-photos le 19 Novembre 2011 à 07:00
Le canal alors était parcouru par de lourdes péniches
dont les ponts sentaient le goudron, le sel, le coke,le hareng et
le café, la potasse et le vent. Il y avait chaque jour sur l'eau des
morceaux d'Europe qui passaient ainsi, dans les remous et les tourbillons
de l'hélice. Grand-Mère veillait sur tout cela. Elle en était heureuse.
Les vrais royaumes tiennent souvent dans le creux d'une main.
(Philippe Claudel - Au revoir Monsieur Friant)_____________ Cliquez sur les images pour les voir en grand ____________________
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