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La Machine à Nuages !
Comme je n'arrive pas à me décider entre ces deux photos,
aujourd'hui c'est luxe, deux vue différentes de la même usine...J'aime les nuages. Les nuages qui passent. .. là-bas. ..
Là-bas les merveilleux nuages !.
(Charles Baudelaire)J’cloue des clous sur des nuages
Un marteau au fond du garage
J’cloue des clous sur des nuages
Sans échafaudage
(Alain Bashung - Volutes)Et puis comme je cite Bashung, le clip de la chanson "Volutes"
_____________ Cliquez sur les images pour les voir en grand ____________________
Tags : usine, chalons, fuji x100
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Commentaires
Je préfère sans conteste la première. On dirait un train qui passe dans la campagne. Le traitement est excellent aussi.
Les deux photos sont intéressantes mais la première est, à mon sens, absolument magnifique, et son traitement topissime: elle a sa place dans un concours, bravo !
4Betty HDimanche 7 Octobre 2012 à 19:37Absolument émerveillée je suis! Ces photos sont splendides. J'ai également un penchant pour la première. En plus cela me parle, petite j'imaginais que c'était ces usines qui fabriquaient les nuages... en voici une belle illustration :) Félicitations!
Merci à vous Mesdames
Ravi que ça vous plaise!
J'ai bien fait de publier les deux photos !Bonne soirée
6MyZLundi 8 Octobre 2012 à 09:05Ah oui, dans ces cas-là, faut pas hésiter à nous faire plaisir deux fois ! (Et même trois, aujourd'hui...)
Quelle délicatesse dans les nuances de ces noir et blanc...
J'aime beaucoup le rendu de la fumée sur la seconde, mais ma préférence va également à la première. Une usine comme invitation au voyage poétique, c'est un tour de force parfaitement maîtrisé. Et je craque sur l'arbre en avant-plan...
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Beau, le sujet, la lumière et les mots en volutes autour comme des rubans, pour nous offrir tout ça...
La première nous invite au voyage, comme un vapeur sur le Mississippi, une sortie d'estuaire... et puis j'aime cette route de liberté Tzigane...
La seconde bénit le voyage, comme un phare bien veillant agitant son mouchoir blanc de volutes vers l'horizon...
Je n'arrive pas à y voir de la pollution... juste un désir attachant de laisser une trace, légère...