Diagonales (du cycliste) !
Les rayons du soleil changeaient, glissaient en diagonale sur les toits, décrivaient des trajectoires
compliquées comme dans ce jeu où une petite bille doit réussir un parcours à travers un carré de
bois piqué de trous noirs, les gouffres des puces. Les rayons volatils s’évadaient vers leur
repos et leur démolition, mais gardaient une luminosité d’été ; certains, les plus prétentieux, l
es princes parmi les cieux, restaient illuminer les airs mais d’autres, plus aimables, descendaient
sur les villes dorer les rues.
(Marien Defalvard)
_____________ Cliquez sur les images pour les voir en grand ____________________