Vous le savez, j'aime la Galerie Polka (Paris), on y expose toujours de belles photos
et le lieu y est sobre et calme.
Jusqu'au 16 mars la galerie expose Nick Brandt pour le troisième chapitre de sa
série The Day May Break, l’exposition qui s'intitule Sink / Rise met en scène des
habitants des îles Fidji, menacés par la montée des eaux.

Je vous ai présenté le chapitre II photographié en Bolivie ICI

L’exposition de la galerie Polka présente les images réalisées pré-apocalyptiques
— sans trucage ni montage — du Pacifique Sud submergé afin de dénoncer les conséquences
de la crise climatique sur le vivant.
(Texte du site de la galerie)

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La série mondiale en cours The Day May Break, qui a débuté en 2020, est décrite par le photographe
comme "peut-être la plus grande crise de toutes : le changement climatique, ou une expression plus
appropriée, l’effondrement du climat, qui a un impact négatif sur chaque créature vivante de la planète."
(Extrait du site de la galerie)

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Je dis toujours qu’il vaut mieux s’indigner et agir que s’indigner et attendre. Une fois dans l’action,
même si ce que l’on fait peut paraître dérisoire, on est moins accablé par la situation, qui reste préoccupante.
(Nick Brandt)

Bien plus qu’un appel à la responsabilité, les images de Nick Brandt, repensent le lien qui unit
les générations et constituent, selon l’artiste, l’une des clés de voûte d’un avenir durable : "
Nous devons tous nous poser la question suivante : Serons-nous de bons ancêtres ?"
(extrait du site de la galerie)

Lors d'un passage à Paris, n'hésitez pas à aller voir l'exposition à la galerie
(Cour de Venise, 12, rue Saint-Gilles, 75003 Paris)

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